Amour dont je chéris la fourrure mouillée
quand remue à ton cou ce minable ornement,
laisse-moi du beau corps que tu meus sagement
peindre la vraie image austère et dépouillée.
Je t'emporte avec moi, masque de porcelaine,
silencieux esprit de la rue en été.
Poème publié et mis à jour le: 16 November 2012