Dieu.
À travers ce qu'on sent confusément bruire,
C'est lui qui fait trembler, c'est lui qui fait reluire
L'oeil sous le cil baissé, l'eau sous la berge en fleurs ;
Le rayon de la lune au bas des monts paisibles
Et le vague reflet des choses invisibles
Au front incliné des rêveurs.
Extrait de:
Dernière Gerbe (Posthume, 1902) Poème publié et mis à jour le: 16 November 2012