Il faudrait noyer la rivière
Ou la pendre à son fleuve
Qu'on en finisse avec la flotte
Ses connexions avec la mer
Qu'il fasse bleu
Tout le temps
Nous avons mérité le désert
Ah ah la plage à portée de peau
Et le pastis sans eau
Le lac suspendu au salon
Dans un tableau
Miroir mon bon miroir
Dis-moi mon beau squelette
Des jours éblouissants de sel
2016-11
Au sujet de Marcel Faure
A Propos
Présent dans quelques revues, j'ai aussi publié un recueil "Petite fugue stéphanoise" aux éditions l'Harmattan.
Poème publié et mis à jour le: 28 April 2021