(Sur des airs de « Jack Monoloy » de Vigneault et de « La route ouverte » de Richard Séguin)
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Denis, Denis, Denis
Dors-tu ? Cours-tu ?
Marches-tu vers la forêt ?
Erres-tu comme un fantôme sur les rives de l’Hudson ?
T’élances-tu vers la Lumière ?
Surfes-tu sur les nuages ?
Rames-tu dans la chasse-galerie au-dessus du St-Laurent ?
Denis, Denis, Denis
Disaient les loups, les renards et les lièvres
Rancourt soufflait le vent
Les étoiles seront tes phares et tes guides !
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Denis, Denis, Denis
À quoi joues-tu ?
Au golf ou à la cache-cache ?
Au poker ou aux quilles ?
À quoi t’amuses-tu ?
À la pêche à l’anguille ou à la course de chevaux ?
À la cueillette de fraises ou de framboises ?
Denis, Denis, Denis
Chantaient les outardes, les eiders et les goélands
Rancourt gazouillaient les oiseaux
La Musique sera ta fête quotidienne !
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Denis, Denis, Denis
Tu te lèves tôt à l’aurore rose
Au petit matin de Pâques
Tu flânes pieds nus dans la rosée tiède
Matinée douillettement chaude de juillet
Tu pars en voyage mais pour où ?
Denis, Denis, Denis
fredonnaient les cigales, les grillons et les huards
Rancourt ronronnaient les vagues de l’océan
Mon beau capitaine toi mon frère
La Grande Aventure t’attend sur ce Grand Voilier !