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Le drapeau va au paysage immonde, et notre patois étouffe le tambour.
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Aux centres nous alimenterons la plus cynique prostitution.
Nous massacrerons les révoltes logiques.
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Aux pays poivrés et détrempés ! — au service des plus monstrueuses exploitations industrielles ou militaires.
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Au revoir ici, n'importe où.
Conscrits du bon vouloir, nous aurons la philosophie féroce ; ignorants pour la science, roués pour le confort ; la crevaison pour le monde qui va.
C'est la vraie marche.
En avant, route ! »
Poème publié et mis à jour le: 13 November 2012