Dans l’odeur aride d’un
demi-jour enfantin, le saut
en inconnu où la félicité s’engouffre
le feu construit, geint de toute la
force de sa stratégie,
et l’orage asséché s’invente
de multiples raisons pour faire
valoir sa prédominance.
La maison se couvre la face
prêt de rendre son âme ;
recours aux défunts qui rongent
notre avenir, détachant un à un
les pétales encombrants,
ruinent le lierre attenant
elle creuse sa force dans
la multitude de la nuit.
Poème publié et mis à jour le: 18 May 2025