Le gazon blasonnant les pierres,
les larmes des pierres qui abondent dans l'ouvrage érigé,
ton sourire de prêtre qui retient dans le quotidien dimanche
le parfait désert sous la parure gothique,
l'amour dans une absence aussi brûlante.
Et ton silence bruit jusqu'aux prairies trop studieuses.
Tu t'efforces, tu maintiens le pas de l'Angleterre vieille
qui s'acharne ici où détresse est vaillance.
Poème publié et mis à jour le: 13 November 2012