La pluie noie tes larmes
Le grand fleuve les emporte
Derniers soubresauts du corps
Et te voilà fillette
Lèvres ouvertes
Fleurissant tes yeux
Tendresse neuve
Ton chagrin d’abîme dispersé
Sur ma joue tu poses
Un baiser libellule
Quel bonheur de papy
2016-05
Au sujet de Marcel Faure
A Propos
Présent dans quelques revues, j'ai aussi publié un recueil "Petite fugue stéphanoise" aux éditions l'Harmattan.
Poème publié et mis à jour le: 26 April 2021