Je fis ce masque pour mes frères
Avec l'or que j'avais volé
(Dieu des chanteurs, ami sévère)
A ma vieille sincérité.
Que leurs dédains m'ont réjoui !
- Toute ma vie agenouillée.
Un dieu s'y est épanoui
Comme une rivière emportée.
On peut revivre ! On peut se taire...
Poème publié et mis à jour le: 16 November 2012