Eveline, mais c'est
Eve
En miniature et c'est
Tout le charme et tout le rêve
Que notre esprit caressait
Quand naguère il s'agissait
Encore d'enfance brève
Qui grandit et grandissait
Dans la femme qui s'achève.
Mais où va donc mon
Sonnet ?
Vous êtes toute mignonne
Et l'âge en fleurs vous couronne.
Votre âge gai ne connaît
Que l'innocence divine...
Riez, petite Éveline !
Poème publié et mis à jour le: 15 November 2012