Non.
Ce n'est pas vrai.
Vous êtes très bonne,
Très sobre de paroles dures vraiment
Et votre verbe est un pur
Uniment
Tout en voyelles sans la moindre consonne.
C'est la cause pourquoi je vous pardonne
Quelque vivacité dite éventuellement
Et sûrement dans le juste moment
Où je la mérite, et parlant à ma personne.
Car vous êtes franche et ce m'est doux,
Dans ce monde vil et surtout jaloux
De ramper autour de quelqu'un pour le tromper
Et c'est très bien ça, ma si chère amie.
Et je vous en estime (et ne mens mie)
Et je t'en aime mieux encor de ne pas me tromper.
Poème publié et mis à jour le: 15 November 2012