Tu dis que mon amour s'efface,
Et que mon cœur se fait tout noir,
Que pour toi je deviens de glace ;
Mon âme, amie, est un miroir
Qui réfléchit ce qui s'y passe !...
Regarde, tu pourras t'y voir !
Je te vois tout en larmes :
Dis-moi, mon bel enfant,
D'où viennent tes alarmes ?
Ce que l'on te défend ?
Ta peine est bien amère !
Pour apaiser tes pleurs,
Veux-tu toutes ces fleurs
Ou les bras de ta mère ?
Poème publié et mis à jour le: 14 November 2012